En novembre 1952, c'est Paul Chaland qui avait trouvé Bosc assis sur les marches devant "Paris-Match" avec son carton à dessins,

et qui l'avait fait entrer dans son bureau (ce qui avait fait dire de Bosc qu'il avait pris le chaland qui passe!).

Ils étaient devenus amis intimes, et ces lignes ont été écrites un an aprés la mort de Bosc, à l'occasion de l'expo de la

Société Protectrice de l'Humour en Avignon, ce qui donne une autre envergure à la fin du texte.

Ce texte a été publié dans le catalogue de la SPH en guise de biographie de Bosc.